#programmé pour écofuturisme 2022
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Installation sculpturale
Claire Sauvaget, 2020
Sous les arbres, des sculptures ressemblent à des méduses ou à des animaux volants à différentes hauteurs. Il y en a neuf, de différentes tailles allant jusqu'au monumental. On s'approche et on déambule au milieu d'elles, observant qu'elles sont faites de racines (branches de mois mort), et de plateaux blanchâtres alvéolés sur lequel des insectes, des feuilles et des morceaux de mousses sont venues y vivre. A y regarder de plus près, chaque alvéole a une petite maison, toujours la même. C'est la maison des Simpson qui a été imprimée via l'impression 3D, maison standardisée par excellence, symbole de l'american dream, mais ici qui a tout d'un cauchemar : Elles sont serrées les unes contre les autres, dans une symétrie qui tourne au vertige, et du plastique fondu semble dégouliner sur les branches racinaires. Si au départ l'air est chargée de poésie, il se fait plus sinistre pour celles et ceux qui se sont bien arrêtés pour regarder. L'artiste pose la question : « Quel regard portons nous actuellement sur notre habitat au regard des avancées technologiques et des questions écologiques ? »
L’œuvre crée ainsi un univers à la fois poétique et critique, en montrant la relation ambivalente que l’être humain a avec la nature, entre fascination et contemplation du vivant, de par son exploitation pour sa propre survie.
Installation sculpturale
Claire Sauvaget, 2020
Sous les arbres, des sculptures ressemblent à des méduses ou à des animaux volants à différentes hauteurs. Il y en a neuf, de différentes tailles allant jusqu'au monumental. On s'approche et on déambule au milieu d'elles, observant qu'elles sont faites de racines (branches de mois mort), et de plateaux blanchâtres alvéolés sur lequel des insectes, des feuilles et des morceaux de mousses sont venues y vivre. A y regarder de plus près, chaque alvéole a une petite maison, toujours la même. C'est la maison des Simpson qui a été imprimée via l'impression 3D, maison standardisée par excellence, symbole de l'american dream, mais ici qui a tout d'un cauchemar : Elles sont serrées les unes contre les autres, dans une symétrie qui tourne au vertige, et du plastique fondu semble dégouliner sur les branches racinaires. Si au départ l'air est chargée de poésie, il se fait plus sinistre pour celles et ceux qui se sont bien arrêtés pour regarder. L'artiste pose la question : « Quel regard portons nous actuellement sur notre habitat au regard des avancées technologiques et des questions écologiques ? »
L’œuvre crée ainsi un univers à la fois poétique et critique, en montrant la relation ambivalente que l’être humain a avec la nature, entre fascination et contemplation du vivant, de par son exploitation pour sa propre survie.
Artiste : Claire Sauvaget
Production : Conseil Départemental des Hautes Pyrénées et Omnibus (Tarbes)
Partenaires : Abbaye de l’Escaladieu à Bonnemazon, patch_work arts émergents, Théorie des Espaces Courbes, Voiron
Expositions : 2022, "Ecofuturisme", Théâtre des Mazades, Toulouse, 2020"Merveilleux vivants" Abbaye de l'Escaladieu, Bonnemazon, 2019 "Territoires Dystopiques", la TEC, Voiron.
Production : Conseil Départemental des Hautes Pyrénées et Omnibus (Tarbes)
Partenaires : Abbaye de l’Escaladieu à Bonnemazon, patch_work arts émergents, Théorie des Espaces Courbes, Voiron
Expositions : 2022, "Ecofuturisme", Théâtre des Mazades, Toulouse, 2020"Merveilleux vivants" Abbaye de l'Escaladieu, Bonnemazon, 2019 "Territoires Dystopiques", la TEC, Voiron.