rockin’ chair_
Installation interactive
Tom Lependeven
2018
rockin’ chair_ est une installation interactive fictionnelle centrée sur une prothèse d’avant-bras et son interface.
Cette prothèse est une sculpture robotisée et interactive composée de matière inerte et organique, tout en étant équipée d’une interface tactile hackée de façon factice. Cette interface est désignée entre surcouche logicielle buguée, widgets biométriques factices, et système hypermédia distillant cette fiction à travers la suggestion de possibles actions de bio-hacking queer low-tech.
L’ensemble repose sur une fiction, celle de la Gougle Prosthestyx, hypothétique prothèse commercialisée par Gougle dans les années 2020.
La scénographie de ce dispositif est donc un espace de gare fictionnel mettant à disposition
des pods de chargement pour ces prothèses.
Tout cela utilisant une logique de réception propre à la SF et posant l’ambiguïté d’une dualité utopie/dystopie… dans une perspective néocapitaliste.
Entre défiguration esthétique et désacralisation formelle de technologies innovantes dans une archéologie du futur, l’intention de cette réalisation est de venir questionner notre rapport au corps face aux technologies. Et cela en remettant en cause l’omniprésence dans le bio-art, notamment, de la notion d’hybridation remise en question dans sa définition trop universalisante.
Au “profit” d’une queerisation des pratiques et donc de la proposition d’un concept : la transcorporalité queer. C’est-à-dire comment la possibilité/potentialité d’une queerisation des corps pourrait amener à redéfinir notre rapport aux technologies. En nous permettant de davantage déconstruire notre rapport corporel aux technologies.
Installation interactive
Tom Lependeven
2018
rockin’ chair_ est une installation interactive fictionnelle centrée sur une prothèse d’avant-bras et son interface.
Cette prothèse est une sculpture robotisée et interactive composée de matière inerte et organique, tout en étant équipée d’une interface tactile hackée de façon factice. Cette interface est désignée entre surcouche logicielle buguée, widgets biométriques factices, et système hypermédia distillant cette fiction à travers la suggestion de possibles actions de bio-hacking queer low-tech.
L’ensemble repose sur une fiction, celle de la Gougle Prosthestyx, hypothétique prothèse commercialisée par Gougle dans les années 2020.
La scénographie de ce dispositif est donc un espace de gare fictionnel mettant à disposition
des pods de chargement pour ces prothèses.
Tout cela utilisant une logique de réception propre à la SF et posant l’ambiguïté d’une dualité utopie/dystopie… dans une perspective néocapitaliste.
Entre défiguration esthétique et désacralisation formelle de technologies innovantes dans une archéologie du futur, l’intention de cette réalisation est de venir questionner notre rapport au corps face aux technologies. Et cela en remettant en cause l’omniprésence dans le bio-art, notamment, de la notion d’hybridation remise en question dans sa définition trop universalisante.
Au “profit” d’une queerisation des pratiques et donc de la proposition d’un concept : la transcorporalité queer. C’est-à-dire comment la possibilité/potentialité d’une queerisation des corps pourrait amener à redéfinir notre rapport aux technologies. En nous permettant de davantage déconstruire notre rapport corporel aux technologies.
Artiste : Tom Lependeven
Co-production : patch_work, arts émergents, Université Toulouse Jean Jaurès.
Exposition : 2018 Transtopie, Mix'art Myrys, Toulouse, 2017, Etat Instable, Mix'art Myrys, Toulouse
Co-production : patch_work, arts émergents, Université Toulouse Jean Jaurès.
Exposition : 2018 Transtopie, Mix'art Myrys, Toulouse, 2017, Etat Instable, Mix'art Myrys, Toulouse