Diane Trouillet
Née en 1980, vit et travaille à Toulouse, et ailleurs. Après avoir soutenue une thèse en Biologie cellulaire et moléculaire à Paris,elle devient artiste-chercheur en concevant des installations ancrées dans la relation entre l’art et la science.
Depuis les années 2010, elle a développé un travail imprégné par l’art conceptuel et le bioart. Ce travail révèle des questionnements récurrents sur la technologie et la fragilité de la modernité où la temporalité est un élément important. Il se caractérise par une grande diversité des moyens employés, dessin, peinture, installation, sculpture,expériences performatives. Cet hétérogénéité formelle assumée caractérise son travail car formes, techniques et matériaux sont choisis en fonction des recherches. Depuis 2013, elle élabore un papier bactérien comme médium artistique. En 2015, elle expose Tattoos à la Galerie WHART à Toulouse, des papiers bactériens tatoués retraçant l’histoire de la réappropriation du corps sous l’angle du post-humanisme. Le livre organique réalisé en collaboration avec L. Develois répond à une autre problématique liée à la persistance du support papier comme support revendicatif. En 2016, lors du Fablab festival, elle présente une œuvre collective immersive et sonore composée notamment de bactéries bioluminescentes: Tempus fugit. Cette installation est exposée lors d’Experimenta, Grenoble 2016.
http://www.un-artist.com/
Née en 1980, vit et travaille à Toulouse, et ailleurs. Après avoir soutenue une thèse en Biologie cellulaire et moléculaire à Paris,elle devient artiste-chercheur en concevant des installations ancrées dans la relation entre l’art et la science.
Depuis les années 2010, elle a développé un travail imprégné par l’art conceptuel et le bioart. Ce travail révèle des questionnements récurrents sur la technologie et la fragilité de la modernité où la temporalité est un élément important. Il se caractérise par une grande diversité des moyens employés, dessin, peinture, installation, sculpture,expériences performatives. Cet hétérogénéité formelle assumée caractérise son travail car formes, techniques et matériaux sont choisis en fonction des recherches. Depuis 2013, elle élabore un papier bactérien comme médium artistique. En 2015, elle expose Tattoos à la Galerie WHART à Toulouse, des papiers bactériens tatoués retraçant l’histoire de la réappropriation du corps sous l’angle du post-humanisme. Le livre organique réalisé en collaboration avec L. Develois répond à une autre problématique liée à la persistance du support papier comme support revendicatif. En 2016, lors du Fablab festival, elle présente une œuvre collective immersive et sonore composée notamment de bactéries bioluminescentes: Tempus fugit. Cette installation est exposée lors d’Experimenta, Grenoble 2016.
http://www.un-artist.com/